Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

PrÉSentation

  • : Les restes des rêves...
  • : Un blog sur les mangas, citations, poésies, ... etc. Un peu de tout et de n'importe quoi en fait :p...
  • Contact

^__________^

Laissez des coms svp !!! Ça fait toujours plaisir ^^ ! Merci d'avance !!! :)

Recherche

Archives

Netblog



  
24 novembre 2007 6 24 /11 /novembre /2007 14:24
"Je cherche en même temps l'éternel et l'éphémère."

Georges Perec je suppose (dans La vie mode d'emploi, une citation de début de chapitre sans auteur mentionné au-dessous). Euh, le titre ce n'est pas forcément ce qu'a voulu dire l'auteur mais ce que j'en comprend... Je ne vois pas ce que ça pourrait être d'autre, mais je préfère prévenir...
Partager cet article
Repost0
24 novembre 2007 6 24 /11 /novembre /2007 14:20
L'oeil suit les chemins qui lui ont été ménagés dans l'oeuvre.

Paul Klee (j'ai de plus en plus de citations hyper courtes ou je rêve ?...)
Partager cet article
Repost0
7 novembre 2007 3 07 /11 /novembre /2007 10:40
_ "Et moi, au fond, même si je m'acharne, j'y gagnerais quoi ? Est-ce qu'on est toujours récompensé pour les choses qu'on fait et pour lesquelles on paye le prix fort ? Est qu'on est tous voués au même bonheur ? Moi, je veux croire à l'échange équivalent.
_ Mais en réalité...
_ Le réalité n'a rien avoir la dedans. Tu me dis qu'y croire c'est comme croire au père noël. Moi ça me va très bien. Je refuse d'admettre qu'en se décarcassant pour faire quelque chose, on obtienne que dalle en retour."


Edouard Elric (enfin, Ed quoi...) FMA (désolé mais je ne sais pas écrire "dalle" (pas le genre de mon qu'on apprend en cours XD) alors j'ai fait au filling (et désolé aussi pour les autres fautes éventuelles off course (moi bien parler english mdr))
Partager cet article
Repost0
7 novembre 2007 3 07 /11 /novembre /2007 10:06
"L'humanité ne peut rien obtenir sans donner quelque chose en retour. Pour chaque chose reçue, il faut en abandonner une autre de même valeur. En alchimie, c'est la loi fondamentale de l'échange équivalent. À cette époque nous pensions que c'était l'unique vérité au monde. Nous, nous trompions. Mais il a fallu céder quelque chose pour l'apprendre."

Alphonse Elric (on dira Al parce que c'est pourri comme prénom ok ? lol ;p) aux début des openings de Full Metal Alchimist

"L'humanité ne peut rien obtenir sans donner quelque chose en retour. Pour chaque chose reçue, il faut en abandonner une autre de même valeur. En alchimie, c'est la loi fondamentale de l'échange équivalent. À cette époque nous pensions que c'était l'unique vérité au monde. Mais nous nous trompions pour une raison simple. C'est que le monde réel n'est pas un monde parfait et qu'il n'existe pas de théorie qui permette de l'expliquer entierrement. C'est la même chose pour cette idée d'échage équivalant. Malgré tout, on veut croire à cette notion car elle reste parfaitement humaine. Pour obtenir quoi ce soit il faut payer un prix. Toutes ces épreuves, souvent douloureuses, que nous avons traversés c'était certainement le prix que nous avions payés.  Au fond, chacun peut, au prix de gros efforts, obtenir ce qu'il souhaite. Encore faut-il le vouloir vraiment et cause soit judte. Quand au principe de l'échange équivalant, nous sommes conscient qu'il s'agisse d'un loi fondamentale. La seule chose essentielle, c'est la promesse que mon frère et moi nous sommes faite. La promesse qu'au final, nous finirons par nous retrouver."

Al toujours mais cette fois à la fin de la série animée ^^ (vous le trouver pas trop moraliste ? Heureusement qu'Ed remonte le niveau XD. Meuh non, j'aime bien Al aussi ^_^ !)
Partager cet article
Repost0
20 octobre 2007 6 20 /10 /octobre /2007 18:41

Lundi soir, je fis un rêve...

Il y avait des plantes qui débordaient de vie

La végétation dense couvrait la terre entière

Tout semblait si parfait, si calme et si prospère

Et pourtant pas un seul animal qui le vit


Mardi soir, je fis un rêve...

Animaux, végétaux se côtoyaient sans trêves

Il n'y avait ni guerres, ni massacres inutiles

Sauf la loi du plus fort que nous trouvons si vil

Mais aucun être humain qui au soleil se lève


Mercredi soir, je fis un rêve...

Que de guerres et de paix, prétextant d'autres guerres

Ennemis et alliés, trahisons et vengeances

Et le coeur noir des hommes excusant cette offense

Faite à notre planète et à ses fruits amers


Jeudi soir, je fis un rêve...

Et tout recommençait, l'Homme ayant disparu

S'étant exterminé pour sa soif de pouvoir

De bonheur impossible, ainsi que de victoires

Entrainant des conflits et des pertes en surplus


Vendredi soir, je fis un rêve...

Une autre espèce animal remplaçait l'Homme

Se croyait supérieure et seule intelligence

Voulant bâtir encore, assumant sa régence

En détruisant tout pour son éternel confort


Samedi soir, je fis un rêve...

Une nouvelle guerre vint tout emporter

Tout détruire et tout tuer, et toutes ces années

Ces milliardaires de soi-disant évolutions

Tombant sous leur propre joug, leurs dominations


Dimanche soir, mon dernier rêve...

La vie sur terre avait eue son dernier frisson

Mais ça me paru la meilleure solution

Plus personne ne pouvait être malheureux

Ni en rendre autrui, par son égoïsme honteux

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2007 6 20 /10 /octobre /2007 18:34

Se parler à soi-même

Et être pris pour un fou...


J'ai vue les limites de la folie

Derrière un coucher de soleil

Mon sang noir, plus vermeil


J'en entendue ces limites

Paroles devenues claires et froides

Remplaçant les maussades


J'ai ressentie ces limites

En un frisson imperceptible

En une caresse perdue


J'ai gouté ces limites

D'amertume douceâtre pleurée

Et de larmes salées


J'ai sentie ces limites

L'odeur âcre de ce sang brouillon

Chargé d'émotion


Mais je suis sainte d'esprit

Car pour soi-même on l'est toujours...


À nous tous : tous fous,

ne voulant pas l'être

et condamnant les autres

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2007 6 20 /10 /octobre /2007 18:22

Un jour, le ciel devint écarlate,

Noyé sous les ailes rouges d'anges.

Et le sang bouillonna,

Creusant des paysages désolés.


Puis il vira au noir encre,

Triste et sinistre linceul.

Résultat de la guerre

Claironné par un ange sombre.


Vous pensez qu'en suivit une lumière salvatrice ?

Mais l'ange blanc est mort.

Et même les étoiles perdent leurs éclats,

Sous les coups répétés de rouge et de noir...


À toutes nos guéguerres, aussi infimes soit-elles,

qui nous pourrisse la vie et à cette manie de toujours vouloir avoir quelqu'un à dos


Ps : Anarchiste ? Moi ?! Meuh non... ^^ lol

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2007 6 20 /10 /octobre /2007 18:10

Tout à commencé quand, assise dans un bar, j’aperçus un homme, grand, mince et d’une pâleur maladive. Il entrait dans la salle, l’air sombre, sans un bruit. Il avait presque l’air de voler sous sa cape noire et ample, qui balayait le sol. Ses yeux cernés semblaient morts, une légère brume s’échappait de ses narines et ses lèvres luisaient d’un rouge sanglant. Bref, vous voyez le genre. Nous n’étions que trois, en comptant le barman, et presque toutes les chaises étaient vides. Pourtant, il s’assit à côté de moi. Je supposai alors qu’il s’agissait soit d’un pauvre type désespéré qui cherchait une femme, soit d’un suicidaire qui ne voulait pas se soûler seul, histoire de chialer en racontant sa vie pourrie à quelqu’un d’autre qu’un mur. Il tapa violemment son poing sur le comptoir et commanda, d’une voix rauque et d’un ton menaçant, un verre de sirop de grenadine. Je me retins d’exploser de rire. Il se tourna alors vers moi et me demanda si je voulais bien qu’il m’offre un verre. Je lui souris, le remerciai et refusai le plus poliment possible tout en l’insultant mentalement. Cette fois c’était sûr : il voulait obtenir des trucs louches de moi. C’était loupé. Il me demanda, sur un ton mystérieux, si je venais souvent ici. Décidément, il avait vu trop de films. Je lui répondis que oui et, réprimant mon envie de regarder l’horloge en m’écriant : “Oh ! Quelle horreur ! Il est déjà si tard ! Il faudrait que je rentre chez moi mais j’ai tellement peur de traverser la ville toute seule en pleine nuit...” ou quelque chose dans le même genre, je finis mon café et m’excusai en prétendant que mon train n’allait pas tarder. Je ne lui laissai pas le temps de répondre et sortis. Bien sûr, il me suivit, sinon ça ne serait pas drôle. J’accélérai le pas et il fit de même. Il y avait une petite ruelle, sombre et sinistre, à ma droite, qui était un raccourci pour la gare. Je m’y engouffrai et ce fut évidemment là qu’il me rattrapa, me saisissant par les épaules et me tirant vers lui. En me retournant, je vis que deux dents lui avaient poussé par dessus la lèvre inférieure. Il ouvrit la bouche et la rapprocha de mon cou, les dents en avant. Il était de plus en plus proche, encore un peu plus, et encore, tiens, un peu trop à gauche. Il rectifia sa trajectoire d’un magnifique mouvement de tête et continua à se rapprocher. Plus que deux centimètres... Plus qu’un... Et... Bon d’accord, j’arrête le suspense. De toute manière, il reçut mon poing dans la figure bien avant d’être arrivé si près. Mais j’y étais peut-être allée un peu fort, le pauvre avait perdu une dent. Enfin peu importe. Je partis en espérant qu’il ne porterait pas plainte, surtout qu’on ne me croirait probablement pas si je disais qu’il avait voulu me sucer le sang. Pas loin d’un quart d’heure après que je fus arrivée à la gare, l’homme qui ressemblait vaguement à une sorte de vampire me rejoignit mais ne tenta rien. Je me dis qu’il devait avoir peur de perdre une autre dent ou qu’il n’osait pas faire quoi que ce soit devant d’autres personnes. Il prit le même train que moi et me suivit en silence jusque chez moi. Il s'installa même sur le palier de l’immeuble et dormit dehors, contre la porte. Bref, à présent, tous les soir et les matins, il me suit sans rien dire, dort en bas de chez moi, et ne veut tout simplement plus me lâcher. Peut-être l’idée qu’une de ses proies s’en sorte lui est insupportable mais qu’il a trop peur de moi. Il doit rêver de me mordre mais ne pas en avoir le courage, ce qui est particulièrement énervant. Soit on joue au vampire, au vrai, et à la pauvre petite victime, soit il va se faire voir avec quelqu’un d’autre. S’il n’assume pas un minimum son rôle, je ne vois pas pourquoi je continuerais le mien. Déjà qu’il est trop lent... Alors, si vous savez comment je peux m’en débarrasser en évitant de le tuer si possible, car, aussi idiot que ça paraisse, je ne voudrais pas trop d’ennuis avec la justice, pouvez vous me le dire ? Merci d’avance d’écrire au courrier des lectrices de “Mystères, mort et amour”...

 

Signé : une fille désespérée aux envies meurtrières

Atelier d'écriture (un gros délire celui là XD)

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2007 6 20 /10 /octobre /2007 18:00

Il était né dans l’aube, pour une journée paraissant encore si longue. D’autres assuraient sa subsistance. Encadré dans un monde où la lumière s’intensifiait.

 

Il fit bientôt grand jour. La beauté insolite du soleil levant s’était dissipée, ne laissant que des rayons devenus crus et agressifs. Il continuait son chemin, perdu parmi les Hommes et persuadé d’être encore le matin.

 

Enfin, venait le crépuscule... Trop tôt. Toujours... La journée se finissait, laissant encore derrière elle les regrets de ce qui aurait pu avoir lieu. Mais il était trop tard, même pour les “si seulement...”. Et l’on se retrouvait, comme lui, sur le bout du trottoir, si proche de la nuit.

Atelier d'écriture

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2007 6 20 /10 /octobre /2007 17:51

Je souhaiterais écrire quelque chose de sensé...

Quelque chose dont je ne sois capable de rougir...

Qui pourrait refléter un fragment de moi-même...

Qui pourrais refléter un fragment d’infini...

 

Je souhaiterais écrire quelque chose d’anormal...

Quelque chose d’étrange, un songe dans le réel...

Ou un rêve éternel... en suis-je rien que capable ?

 

Je souhaiterais écrire quelque chose de réfléchi...

Quelque chose de vrai, de sûr, si ça existe...

 

Je souhaiterais écrire quelque chose...



Version versifiée de "Je voudrais écrire"...

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents

Liens